« l’homme sous ses deux formes: l’animal homme et la maison »
Le chemin aussi est trace de l’homme, comme le sont la maison
— (ou le temple, ou le monastère, ou le pavillon au toit de chaume au bord du précipice)
ou la barque
— (et d’elle je dirai peut-être quelque chose, après)
mais il ne peut comme elle représenter l’homme en face du paysage
— (de la terre, de la montagne, des arbres et des eaux)
parce qu’il appartient aussi bien à ce qui dans la peinture est le non-humain, il fait partie de la montagne et de la terre
— (et de l’eau lorsqu’il se fait pont).
Il est, le chemin, à la charnière entre l’humain et le minéral.